Le blog d'Olivier Jobit
2 Mars 2017
Malgré les efforts et les dispositions prises par les dirigeants et les associations contre la violence routière, le bilan en matière de sécurité routière reste toujours négatif. Selon les études, l’excès de vitesse et la prise d’alcool restent les principaux facteurs qui engendrent les accidents de la route. Ce n’est pas faux, mais il existe plusieurs autres pistes qu’il faut explorer pour diminuer les accidents et la perte humaine. En ville ou sur route, le respect des règlements dans le code de la route reste la meilleure solution pour minimiser les dégâts. Etant considéré comme un acteur majeur de la sécurité routière en France, Olivier Jobit met l’accent sur la responsabilité des conducteurs pour réduire le taux de mortalité causé par les accidents de la route (voir le profil d'Olivier).
Selon les études, la vitesse et l’alcool restent les principales causes de mortalité au volant, ce sont majoritairement les tranches d’âge les plus jeunes qui sont touchées par les accidents mortels. Pour minimiser les risques, l’amélioration des efforts de prévention effectuée par l’Etat, les entreprises, les conducteurs et les autres usagers restent la seule solution. Conducteurs ou piétons, tous les usagers de la voie publique devront connaitre et maitriser les divers codes de la route et les règles pratiques de la circulation. Pour mettre à jour les connaissances acquises durant la préparation aux examens code et conduite ; les conducteurs sont invités à suivre des stages de sensibilisation à la sécurité routière. Il s’agit d’une formation de courte durée, organisée uniquement par les établissements agréés par la préfecture. Même si ce n’est pas obligatoire pour les conducteurs qui n’ont pas perdu leurs points permis, ce stage est fortement recommandé. Durant les deux jours de formation, le participant est sensibilisé aux risques routiers et à l’idée préconçue considérée comme monnaies courantes de la sécurité routière. Plusieurs modules et thèmes concernant la sécurité routière sont développés le long de la formation : études en cas d’accidents, exposé sur les lois physiques et de leurs conséquences sur les véhicules et leur conduite, mais également un questionnaire d’auto-évaluation. A l’issue du stage, les participants reçoivent une attestation de stage. La copie de ce document est transmise au préfet du département dans un délai de quinze jours. Si vous avez besoin d’aide ou si vous avez des questions à poser, vous pouvez contacter Olivier Jobit via son compte sur les réseaux sociaux. C’est un expert en sécurité routière qui dirige un organisme non gouvernemental dans le domaine de la sécurité routière. Leurs objectifs c’est de lutter contrer l’alcool et la drogue et de sensibiliser les usagers du moyen de transport.
Stage de sensibilisation à la sécurité routière ou stage de récupération point permis, c’est une formation destinée aux conducteurs ayant commis une infraction sanctionnée par un retrait de points. Si c’est le but, le stage de deux jours permet au conducteur de récupérer jusqu’à quatre points. Mais pour y parvenir, le permis de conduire ne doit pas avoir perdu sa validité. Dans le cas contraire, c'est-à-dire si le conducteur a déjà reçu la lettre recommandée du ministère de l’intérieur, informant que le solde de points est nul, il ne pourra plus suivre le stage dans le but de récupérer des points. C’est d’ailleurs pour cette raison que le conducteur devra munir d’un relevé d’information intégrale récente qui indique le nombre de points dont il dispose encore. Il faut préciser qu’un conducteur a le droit de suivre un stage par an, de date à date depuis le dernier stage qu’il a effectué. Si vous voulez connaitre les établissements qui organisent ce stage de récupération permis, vous pouvez vous procurer en préfecture et consulter la liste. A part la récupération des points, le stage de sensibilisation à la sécurité routière est recommandé pour éviter une sanction, notamment la suspension du permis ou l’amende. En cas d’excès de vitesse ou de conduite en état d’alcoolémie, la participation à ce stage est toujours exigée. Si c’est le cas, le conducteur ne gagne aucun point à l’issue du stage.
Les entreprises, quelles que soient leurs tailles et leurs activités ne peuvent rester indifférentes à la réalité des risques routiers. Même si les salariés ne conduisent pas de véhicule et prennent les transports en commun pour se rendre dans le lieu de travail, ils courent toujours des risques d’accident pouvant être requalifiés en accidents du travail. Même si on dit toujours que chaque conducteur est responsable de ses actes et doit respecter le code de la route et les autres règles de sécurité ; pourtant, cette responsabilité n’annule jamais celle de l’entreprise notamment en cas d’infraction ou accident de la route. Aujourd’hui, nombreuses entreprises prennent leurs responsabilités et organisent des petites formations dans leurs enceintes pour sensibiliser les salariés aux risques routiers. Une solution permettant de minimiser les risques et de sensibiliser les conducteurs. L’établissement et la mise en œuvre d’un plan de prévention sont également nécessaires. Grâce à ce plan, ce sera plus facile de gérer le temps de travail des salariés amenés à utiliser leur véhicule dans le cadre de leurs missions. Ce plan pourra rappeler les règles à suivre au volant : consommation d’alcool, prise de médicament ou de stupéfiant, utilisation de téléphone…Ce n’est pas tout, certaines règles du code de la route peuvent également figurer dans ce plan. Il faut préciser qu’en cas d’accident sous l’emprise de l’alcool ou autres drogues, la responsabilité de l’employeur peut être engagée au titre de son obligation générale de sécurité. Ces quelques mesures ne sont pas suffisantes pour garantir la sécurité du conducteur ; l’entreprise ou bien l’employeur devra mettre à la disposition de ses salariés et collaborateurs des véhicules en bon état de marche. Avant de prendre la route, la vérification des pneumatiques, freins, suspensions, systèmes d’éclairage…est toujours recommandée. Le cas échéant, une réparation doit se faire très rapidement. Ce n’est pas tout, le respect de la date du contrôle technique a aussi une grande importance. Si vous êtes dirigeant d’entreprise et que vous voulez améliorer la sécurité de vos collaborateurs et salariés, vous pouvez contacter Olivier Jobit, il dirige une association non gouvernementale qui intervient dans le domaine de la sécurité routière. Réputé comme un acteur majeur de la sécurité routière, il met à votre disposition tous les éléments-clefs permettant de responsabiliser vos collaborateurs.
Même si les études montrent que c’est l’alcool et l’excès de vitesse qui sont les premières causes de l’accident de la route, il existe d’autres pistes à ne pas négligé pour minimiser les risques et les accidents de la route. Tout d’abord, sensibiliser les conducteurs sur l’utilisation de téléphone au volant a une grande importance. La manipulation des appareils mobiles au volant est l’un des aspects les plus critiques de la sécurité routière, notamment avec l’émergence des Smartphones, des réseaux sociaux et de nombreuses autres applications. Selon les études, l’utilisation de téléphone au volant multiplierait les risques d’accident. La mise en place d’un continuum éducatif est également recommandée pour revoir les détenteurs du permis en formation au cours de leur vie. Depuis quelques années, cette mesure a été évoquée, mais s’adresse surtout aux jeunes conducteurs. Ici, le but c’est de faire revenir le conducteur en formation pour éviter les infractions au code de la route. Au-delà de toutes ces mesures, une visite médicale du permis de conduire est également nécessaire. Cette visite médicale est obligatoire pour des raisons médicales, pour une visite spécifique des personnes handicapées locomoteur, après une suspension ou annulation du permis de conduire, pour les conducteurs dispense du port de la ceinture de sécurité, après la réclamation par l’examinateur à la suite de constations faites le jour de l’examen du permis de conduire. Les personnes âgées de plus de 60 ans qui souhaitent conduire doivent également effectuer une visite médicale.
En regardant tous les mesures proposées et appliquées par les conducteurs, la lutte contre la somnolence est très souvent négligé. Pourtant, elle est la première cause d’accident, notamment sur autoroute. La raison est simple : manque de sommeil, prise de médicament psychotrope, syndrome de l’apnée du sommeil. Pour minimiser les risques, il aurait peut-être nécessaire de mettre en place de nouvelles mesures de sensibilisation du grand public, des entreprises et employeurs mais aussi des associations qui luttent contre les accidents de la route. Comme l’utilisation des détecteurs de l’alcool et de stupéfiant, il pourrait être indispensable de détecter la pris de médicament psychotropes au volant. De même, la sensibilisation des conducteurs, s’avère également nécessaire. Jeune ou adulte, en agglomération ou sur autoroute ; il ne faut rien négliger si on souhaite conduire en toute sécurité. Il faut de même préciser que tous les emprunteurs de la voie publique ont une grande responsabilité dans la sécurité routière et celle des usagers. Quelle que soit la situation, le respect du code de la route et des règles en vigueur, la prudence et la responsabilité restent les meilleures méthodes.
